30 déc. 2007

Un montage sympa

Ca fait un mois que je trippe bien avec mon frère et son pote Tony. Les apéros à 7h du soir par 28°C sur le balcon à boire de la cooper's et à manger les chips en promo resteront graver dans nos mémoires. Et là comme ça paf paf vlà un montage photo signé Tony qui témoigne de son expérience à Sydney. La musique est un grand classique, une chanson à propos de Sydney que les aussies chantent la main droite sur le coeur et la gauche sur le schooner de Toheeys dans les pubs qui se respectent !

26 déc. 2007

Noel Australien

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Difficile de sentir l’esprit de noël lorsqu’on est sur sa serviette de plage à 25°C à l’ombre. Pourtant une visite dans n’importe quel magasin lève tous les doutes : guirlandes, pères noël, sapins en plastique et promotions sont partout. Du coup loin de nos familles, nous avons mon frère, moi et Tony (un pote de lycée de mon frère) fêter noël à notre façon... Une vidéo vaut mieux qu’un long discours...

12 déc. 2007

Palm Beach

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Le lendemain de mon retour des Whitsunday et la veille de mon départ pour Fraser Island nous sommes, Chingy, mon frère et un autre pote, partis passé la journée à Palm Beach. Ce lieu au nom enchanteur est une plage située au nord de Sydney, à une heure de route du centre ville.
Je m’attendais à une gigantesque plage de surf bondée de touristes et bordés d’échoppes, de bar, de restos et de magasins de surfs comme Bondi. Il n’en fut rien.
Palm Beach est en réalité une plage « épargné » par le capitalisme primaire et le tourisme de masse. C’est ce qui fait son charme. La côte qui l’entoure est magnifique et le sable rose lui donne un côté unique.




Revers de la médaille, pas de surf à louer dans les parages. Mais les vagues étaient tellement belles que j’ai tenté ma chance auprès d’un surfeur de 30 ans sortant de l’eau. Je l’aborde et lui demande s il sait ou je peux louer une planche dans le coin. Il me propose d’utiliser la sienne. Trop bon j’adore ce pays.
Du coup on a alterné pendant une heure et demie avec mon frère et on c’est bien fait plaiz !
Sur le coup de 6 heures, nous sommes allés se boire une bière en terrasse sur la marina qui se situait de l’autre côté du cap. Magnifique tableau. Y’a pas à dire dans la région de Sydney, c’est le meilleur endroit que j’ai pu visiter jusqu'à présent.



POur finir voici une petite vidéo de la route menant à Palm Beach. Ne vous focalisez pas sur la route mais sur ses abords.

Vidéos vidéos vidéos !!!

Bon je me sens repris d'une envie de montage donc attendez vous à de nombreuses vidéos dans les prochains postes.

Et on commence par des images de ma "croisière" autours des îles des Whithsundays. Regardez la couleur de l'eau !

10 déc. 2007

Sailing at the Whitsunday's

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Nous avons donc passé les trois jours et deux nuits suivantes sur le double-o-seven. L’équipage est présent sur la photo : un jeune couple suédois très sympa (elle est prof de yoga, lui bosse pour Petzl, le leader mondial du matos d’escalade), une irlandaise un peu spé mais brave, le captain Willow et en arrière plan le navire.
Ce petit voilier est un bateau école, et le prix de la croisière incluait une initiation à la voile et la navigation. L’avantage c’est qu’on avait donc le droit (et l’obligation en fait) d’aider à manœuvrer le bateau. Nous avons eu également le droit à de nombreux petits cours théoriques sur l’art de la navigation, de l’ancrage etc... Bien sympa.

Par contre le problème c’est qu’il n’y avait pas de vent. Du coup le bateau n’avançait pas et ça c’était frustrant. Le skipper, un pur australien de la brousse pour qui la bière est un élément indissociable de la croisière, était un peu radin tout de même. Rechignant à mettre le moteur en marche quand le vent ne permettait pas de dépasser 2 nœuds. Du coup, par moments, on se faisait un peu chier sur le bateau et comme on mettait une plombe à se rendre d’un point à un autre on a pas fait tant que ça de haltes :

Premier jour : formation du matelot au port, lunch dans une petite baie suivit d’un bain rapide autour du bateau pour se rafraîchir (32°C à l’ombre, soleil de plomb).
Barbecue (BBQ comme on dit ici) le soir dans une crique.

Deuxième jour : halte sur une île le matin, un peu de « bush walk » jusqu'à la fameuse plage « whiteheaven beach » au sable le plus fin du monde. Superbe plage, dommage que ce soit le seul moment du weekend où il n’y avait pas de soleil !
Après midi : on rejoint une autre baie pour plonger admirer un récif corallien. Superbe.
Soir : repas et bière dans une autre crique. Superbe ciel étoilé.





Troisième jour : on navigue autour de petites îles sans s’arrêter pour rejoindre une plage où l’on mouille. Bain autour de gros poissons et repas au soleil. Puis on rentre toutes voiles dehors, pour une fois il y avait du vent.





Au final c’était bien sympa, mais pas aussi bien que le promettais les cartes postales et les guides touristiques. En plus de l’avarice présumée du skipper, un dernier élément à perturber cette croisière : les méduses. En fait il y a trois espèces mortelles qui vivent dans cette partie de l’Australie. Il y a environ 100 accidents par an sur l’archipel pour 100,000 visiteurs, soit une probabilité de 1/1000. Sachant que le port d’une combinaison réduit considérablement les risques. Cela dit si tout les accidents ne sont pas mortels, ils s’accompagnent invariablement de 3 heures de supplices sur le bateau et dans l’hélico suivit de 4 jours d’agonie à l’hôpital tellement le poison est violent et douloureux.
Du coup malgré la combinaison, je n’étais pas toujours rassuré une fois dans l’eau. C’est con mas ça a un peu diminué mon plaisir.

8 déc. 2007

AirlieBeach et les Whitsunday

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Je suis parti avec Chongus He Zhonguyi, aka Chingy, un excellent pote à moi (Australien malgré le nom) pour 4 jours d’aventures autour de l’archipel des Whitsunday.

Cet archipel situé à 100 km du sud de la grande barrière de corail est sensé être un endroit paradisiaque. Des îles tropicales bordées de récifs coralliens et de plage au sable fin et d’un blanc immaculé. Le tout entourée d’une mer d’un bleu turquoise magnifique.
Pour profiter des îles l faut un bateau ben entendu. Les tours opérators partent d’Airlie Beach et sont légions : cela va du bateau industriel avec 50 passagers au voilier de 15m avec 6 matelots.

C’est un peu à l’arrache qu’on arrive à 21h le soir sur AirlieBeach.
Cette ville balnéaire comporte une marina, des hôtels et maisons qui s’étale sur le flanc de la montagne et une grande rue principale qui suit la côte, avec backpackers, pubs, agence de voyages, cafés et restaurant. C’est très animé le soir et particulièrement en novembre ou on lieu les « schoolies », ces camps de vacances pour lycéens venant d’obtenir leur bac. Le plus marrant c’est que la pluspart d’entre eux ayant 17 ans, ils ne sont pas admis dans les bars !


Après un bon MacDo on s’est laissé tenter par une bière en terrasse d’un gigantesque pub. Les demis étaient vendus 6$ et le pichet de 1125ml 13$. Devant cette quantité de bonne bière pas cher, on a pas pu se retenir et on en a descendu un nombre indéterminé.
Un peu joyeux, on a terminer la soirée à faire les cons dans la piscine du backpacker.

Le lendemain on a galéré pour trouver un bateau pour nous emmener sur les Iles le jour suivant. En fait 90% des bateaux qui partent pour trois jours étaient partis le matin même. Il nous restait le choix entre un gros bateau de 25 passagers et un tout petit de 6. On a opté pour le petit, le double o seven (OO7).

Une fois cette bonne chose faite, nous nous sommes dirigés vers la plage. Le problème c’est que malgré sont nom, AirlieBeach ne possède pas de plage ! Enfin comme à Cairns il y a un Lagoon, c’est à dire une plage artificielle avec vu sur la mer. Et contrairement à celui de cairns, celui là assurait. On y a passé une bonne partie de la journée.


Le soir on a trippé avec deux anglaises au backpacker pendant un petit moment. Vu qu’on devait se lever à 6h30 le lendemain matin, on ne les a pas suivis au pub. Et là un truc « qui n’arrive qu’a moi » est arrivé. Nous avions par erreur disposé nos courses alimentaires sur l’étagère commune du frigot. Lorsqu’on s’en est aperçu, un tiers de nos bières et mon dîner du soir avaient disparu. Les boules.

La suite dans le post suivant.

25 nov. 2007

Road trip from Sydney to Fraser Island

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Donc me voilà de retour pour repartir de plus belle. Cette fois-ci directions Fraser Island, à seulement 1500 km de Sydney (en voiture bien sur !). Une semaine de bonheur en perspective ! Bientôt de retour avec de superbes photos !

En attendant voici un aperçu des photos de Whitsunday





Ainsi qu’un photo classique de Fraser Island (bien que le plus intéressant soit plus le voyage en lui-même que l’Ile en question).



Cheers !

20 nov. 2007

Whitsunday

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Et voilà, mon périple Australien touche (en principe) à sa fin. Aujourd’hui je m’envole pour les îles paradisiaques de la Whitsunday Coast. Je rentre samedi soir à Sydney pour passer mon dernier weekend là bas avant de repartir, en voiture cette fois, pour une probable dernière aventure.

Star City Hotel & Casino (partie 2)

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Bon je sais ça fait beaucoup de postes en peu de temps, mais je suis en vacances et la plupart de mes potes sont encore en exams donc en attendant je m’occupe...

Toujours est-il que samedi dernier je suis retourné au casinos, bien décider à me faire plaiz avec l’argent économisés sur le loyer grâce à mon sous-locataire de frère. Forcément un samedi, même à 23 heures, c’était blindé ! Du monde partout ! De superbes femmes en robes de soirée bien chère (comme dans les films), des rugbymans en T-shirts (pas comme dans les films) et beaucoup d’argent qui circule innocemment. Des concerts dans les bars qui bordent les machines à sous, une véritable ambiance de fête. J’ai pu croiser une mamie chinoise avec une liasse de billet de $100, apercevoir des gens miser une centaine de dollar par tour sur la roulette et observer un mec gagner un pot de $7000 sur la table de poker THNL à $5, faisant passer son tapis à un montant de plus de $10000 ! Malheureusement pour moi, pas possible de jouer, 2h30 d’attente pour la table la moins chère. I’ll be back !

17 nov. 2007

L'Omaha High débarque sur everest poker !

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Grande nouvelle pour tous les habitués d’everestpoker.com : une nouvelle variante de poker est disponible : l’Omaha Hight.
Everest poker n’avait comme seul avantage le faible coût des parties proposées. Le site gagne en sérieux en proposant (enfin) autre chose que le Texas Hold’em. On peu tout de même regretter le choix de la nouvelle variante : trop proche du TH. Proposé l’Omaha High/Low ou un Stud aurait été plus « révolutionnaire » mais bon c’est déjà ça.

Donc l’Omaha kesako ? Tous simplement la forme la plus « folle » du poker. C’est cette variante qui produit les plus gros pots et qui assure le plus de sensations !

Les règles : exactement les mêmes que le TH à deux exceptions près :

- Chaque joueur reçoit 4 cartes au lieu de 2.
- Pour faire une main, un joueur DOIT utiliser EXACTEMENT DEUX cartes parmi les 4. Ni plus ni moins.

De plus le jeu ce pratique en POT LIMIT ce qui signifie que l’on ne peut miser qu’un montant égal à ce que contiendrait le pot si l’on se contentait de suivre. Cela signifie peut de All-in avant le flop mais n’empèche pas les pots d’être en moyenne 4 fois plus gros qu’en no-limit hold’em.

Pour finir quelques règles de survie issue de ma jeune expérience et de mes lectures :

- Pour déterminer si une main est jouable, il faut comprendre qu’une main de Omaha correspond en réalité à 6 mains de TH. Par exemple si vous recevez Acoeur Apique 10 cœur 10 piques vous avez en réalité : A/A, A/10 assortie, A/9 assortie, A/9 dépareillé, A/10 dépareillé et 10/9 dépareillé. En TH les 3 premières mains sont indiscutablement jouables et les 3 suivantes sont potentiellement intéressantes. Autant dire que dans ce cas de figure vous détenez un monstre. À l’inverse A/J/8/2 tous de couleur différente (rainbow) est une poubelle... Pour juger de la qualité de votre main il faut donc observer le nombre de main jouable en TH qu’elle représente. C’est un bon début.
- Il est important de comprendre que lorsque vous êtes contre un adversaire, vous avez en face de vous non pas une mais SIX mains différentes. A 5 joueurs sur le flop, c’est donc 30 mains qui s’affronte. La conséquence immédiate est la suivante : si vous n’avez pas le jeu max ou un tirage max, il est fortement conseillez de se coucher. Dans le même ordre d’idée, ne tentez pas un tirage qui n’est pas max. Si vous avez la couleur dame haute, il est très probable que vous êtes battue.
- Si une paire apparaît au tableau, il est plus que probable que quelqu’un est un full.

Vous l’aurez compris, en Omaha les mains sont en général beaucoup plus fortes qu’en TH. Une paire d’as qui ne fait pas brelan n’ira pas bien loin. Les fulls, couleurs et quintes sont légions. Il faut donc bien lire les flops pour être sur de ne pas se faire piéger. Bon jeu à tous !

Star City Hotel & Casino (partie 1)

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Ma maison est située à 300 mètres du casino de Sydney. Un gigantesque complexe : Deux buildings de 30 étages avec des chambres à 100$ la nuit minimum, une piscine sur le toit, 30 bars et restaurants, des salles de spectacles et une immense salle de jeu !

Les tours me narguent depuis que je me suis installé. Je me suis souvent approché et baladé dans l’enceinte sans pour autant oser entrer dans la salle de jeu proprement dite. Déjà ça claque pas mal : gigantesque fontaine à l’extérieur, cascade à l’intérieur. Marbres étincelants, plafonds étoilées. La grande classe !
J’ai finalement franchi le pas avec mon frère un mardi soir et tenté de pénétrer dans l’enceinte. On en a pris plein les yeux ! Des machines à sous (pokies) à pertes de vue. Des écrans gigantesques pour suivre les sports en directs, des tables de blackjack à perte de vue... Et un coin poker avec une quinzaine de tables! Nul doute que je craquerais un jour pour la table la moins chère : du THNL à $2/$1 avec un bring in fixe de $80.

En attendant on est devenu membre du casino (inscription gratuite), ce qui nous a donné le droit à deux soft drink gratuits que nous avons savourer dans des bars bien classes ainsi qu’à un jeton de $10 chacun, uniquement valable sur les roulettes. On a donc miser ça en même temps sur deux colonnes de chiffres différentes avec un gain potentiel net de $10 que l’on aurait été libre de jouer n’importe où. Le zéro est tombé, mettant fin à nos rêves les plus fous. Cela ne m’a pas empêché de parier $1 dans une machine à sous et de gagner un dollar supplémentaire (waou !).

15 nov. 2007

Death Proof (Boulevart de la mort, un film Grindhouse!)

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J’ai enfin pu voir le dernier Tarantino ! Il était sorti en France juste après que je sois partis et viens seulement d’atteindre les cinémas Australiens.
Encore une fois, une expérience inoubliable. Le fait de l’avoir vu dans une salle quasi-pleine a beaucoup aidé, les Australiens s’exclafant bruyamment à chaque blague.
Avant de parler du film en lui même, il faut évoquer le contexte qui à conduit notre ami Quentin à produire ce magnifique navet.

Dans sa jeunesse, Mr Tarantino passait des soirées dans des cinémas de quartier offrant des films d’un genre particulier dit « grindhouse ». Pour le prix d’un film, on en avait d’eux. Soit trois heure et demie à manger du pop corn devant deux téléfilms à petit budget de mauvaise facture. Ces films brillaient donc par leur médiocrité, la pauvreté de leur scénario et leur violence. Un genre bien sympathique donc.
Un soir, Quentin invita un ami réalisateur à boire des bières chez lui. Après avoir descendu une nombre indéterminé de cannette et alors qu’il avait la bouche pleine de chips, sont ami lança un truc du genre « I love dis pofter man », en pointant d’un doigt graisseux une affiche de film. Quentin répondit qu’il s’agissait d’une affiche de cinéma Grindhouse. S’ensuivit une discussion animée sur ce genre particulier. Les deux réalisateur se découvrirent une passion pour ce genre obscur et, les bières aidant, un d’entre eux fini par lâcher « let’s do that ». Il en ressortit l’idée que chaque ivrogne allait pondre un film faisant honneur au genre et qu’ils sortiraient les deux films ensemble sous un unique long métrage de trois heures. Au fil des semaines l’idée se précisa. Rapidement des réalisateurs se battaient pour réaliser les fausses bandes-annonces qui devaient s’intercaler à l’entracte entre les deux films. Le film « Grindhouse » vit finalement le jour. Il se constitue du film de Z, un film de zombie, de dix minutes de faux teasers réaliser par Tarantino, et de Death Proof. Et comme on pouvait s’y attendre, ce fut un gros bide au States.
Les raisons ? Trop long, trop con. Les fans de grindhouse ne sont pas si nombreux et lorsqu’on fait un bon film basé sur un mauvais genre, ça ne donne pas lieu à un chef-d’œuvre.

Du coup, en France et ailleurs les films sont sortis séparément, dans des versions plus longues (incluant les scènes coupées). On perd l’esprit d’origine, mais on gagne en accessibilité.

Bref je suis donc allé voir Death Proof, et j’ai adoré. Bon certes le scénario est très simple : un homme possède une voiture qu’il a rendu « death proof » pour le conducteur et mortelle pour les passagers, et s’en sert pour tuer des jeunes filles. Une sorte de tueur en série d’un genre particulier, très rock en roll.
Mais le film reste très jouissif, les dialogues sont percutants (la VO est impérative pour ne pas perdre l’essence de ceux-ci), la bande son est bien sympa (bien qu’en dessous des précédentes) et l’on apprécie l’effort réalisé pour donner au film un aspect « pas finis » (le film passe en noir et blanc pendant un moment, une bobine saute, des coupures mal ajustées etc...). Les scènes de poursuite au volant de grosses américaines sont superbes. Sentir le sol du ciné trembler lorsque le méchant appuie sur le champignon est une expérience inoubliable. Quentin c’est fait plaisir et cela se ressent. Sans parler des clins d’œil à l’univers tarantino qui sont légions et donne du baume au cœur du fan.

Un film totally pointless mais très jubilatoire. Un bon moment à passer si on ne veut pas se prendre la tête. A regarder entre amis, dans un salon avec beaucoup de truc à grignoter et le son à fond !

True Romance

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Un film que tout bon fan de Tarantino se doit de voir, voir de revoir. Tout simplemen excellent.
Réaliser par Tony Scott avec un casting impressionnant : Christan Slater, Patricia Arquette, Val Kilmer, Gary Oldman, Brad Pitt, Christopher Walken...Le scénario est de Tarantino et ça se voit, à se demander parfois si ce n’est pas lui qui a réalisé le film. La bande son est une nouvelle fois au rendez-vous, nickel.

Mais parlons du scénario. Un mec quelconque (Clarence) et une call girl tombe passionnément amoureux l’un de l’autre au cours d’un rendez-vous arrangé. Une véritable romance débute. Problème : la call girl « appartient » plus ou moins à un petit mafieux. Lorsque Clarence passe chez ce dernier récupéré les affaires de la call girl, il s’ensuit un bain de sang. Et le jeune couple se retrouve avec un meurtre et 2 millions de dollars de cocaïne sous les bras. Ils partent en lune de miel sans vraiment se rendre compte que la mafia et la police sont à leur trousse. S’ensuit une succession de scène d’anthologie, de violence et de situation cocasse voir hilarante dont Tarantino a le secret.

3 nov. 2007

Deux blog sympas

Le blog d'une de mes très bonnes amies qui à la chance de passer quelques mois à San Francissco:
http://sophie-usa.blogspot.com/

Ainsi qu'un coup de coeur: créé par un bon pote à moi, le blog d'un écophotographe qui sort sans aucun doute de l'ordinnaire.
http://www.photos-nature.over-blog.org

Toujours plus de poker (2/2)

Cash game

La particularité de cette partie résidait dans le fait qu’elle était short-handed : seulement 6 joueurs. 3 débutants, 1 joueur moyen et 1 joueur expérimenté (nico). J’ai vite remarqué que le débutant en face de moi avec une expression particulière lorsqu’il recevait de mauvaises cartes.
Pour des parties de ce genre, la littérature recommande de jouer plus de main et de manière plus agressive. C’est ce que j’ai entrepris de faire mais si cela m’a permis de gagner plusieurs petit pot, cela m’a également coûté beaucoup à la longue, les autres jouant globalement de manière très conservatrice. J’ai finalement flopé un brelan de 3 et amassé un gros pot, faisant monté mon tapis à $15. J’ai ensuite été malheureux avec As/Q : Un as au flop. J’agresse le pot et un débutant me paye. Le turn me donne un tirage couleur max et mon adversaire mise 1$. Il ne semble pas sur de la force de sa main et je pense pouvoir lui faire coucher sa main en envoyant mon tapis. Il hésite et me paye avec As/3 offsuit. Le problème c’est qu’il a une double paire ! J’ai encore 3 dames et 8 piques pour me faire gagner, soit 24% de chances environ, mais non. Je redescend à $10 de tapis (je le couvrais largement).

Viens LE coup de la soirée.

Depuis le début, Nico a fait preuve d’une grande capacité de lecture des adversaires, payant un bluff au flop, puis au turn puis à la river avec seulement une paire intermédiaire. Sachant que j’ai tendance à transpirer lorsque je bluff, j’avais donc pris la résolution de ne pas tenter de bluffer cet Allemand.

Cela étant dit, je me retrouve au cutoff (avant le bouton) et deux joueurs avant moi se sont couchés. Je paye avec Q/3 de cœur, une main à priori injouable, en espérant trouver un bon flop. Le bouton paye et la small blind complète avant que Nico, de grosse blinde, relance de 30c. Vu la tête du joueur au bouton, je sais qu’il ne va pas payer. Je ne pense pas que le small blind va payer non plus et je forme le raisonnement suivant : j’ai la position sur Nico donc s’il ne touche pas sont flop, je mise un bon coup et empoche le pot. Je paye donc. À mon grand étonnement la small blind paye. Le flop tombe (je ne me rappelle plus des cartes, mais cela n’a que peu d’importance). La small blind check et Nico fait de même. Le pot fait $1,30 et je mise donc $1. Le small blind se couche et Nico m’observe pendant de longues secondes. J’évite son regard et m’efforce de paraître le plus naturel possible. Ça ne prend pas, il paye. Le turn n’apporte rien de spécial et Nico mise $1. Pendant ce temps je poursuis mon résonnement : il doit avoir As high, avec éventuellement une petite paire. Il est persuadé que j’ai bluffé au flop donc il mise maintenant pour me coucher, si je le relance il va croire que je continue mon bluff. Mais si je paye juste, cela va le déstabiliser et me donner une occasion de bluffer la river. Je réfléchis à tout cela en une poigné de seconde ce qui fait que mon call paraît très naturel. Je donne vraiment l’impression de quelqu’un qui a du jeu et qui veut voir la carte suivante. Cela le surprend et après une hésitation, il check la dernière carte. C’est ce que j’espérais. Pour le forcer à se coucher à ce niveau, je suis obligé de miser un gros montant. Le pot fait 5,30$, je mise $3,5. Nico m’observe pendant un bon moment, mais j’ai confiance en mon résonnement. Il finit par ce coucher. Le coup le plus éprouvant psychologiquement que je n’ai jamais joué.

Plus tard dans la partie, je vais avoir plusieurs coups malheureux qui vont me faire redescendre bien bas. Je termine la partie en flopant une quinte qui me permet de terminer avec $9,50. J’ai joué très large et cela m’a finalement desservi.

Toujours plus de poker (1/2)



En plus de mes parties régulières de cash game à $10 sur everestpoker.com, j’ai dernièrement participé à 2 parties « live » avec des potes. Le premier soir il s’agissait d’un cash game à $10 de buy-in et des blindes de 5/10cents , le soir suivant autres amis et autres style : un tournoi à $5 de buy-in.

Un tournoi avec 10 joueurs.
Chacun mise $5 et débute avec un tapis de 850. $35 au premier et $5 au second. La structure d’augmentation des blindes est particulièrement stupide : à chaque fois qu’on fait un tour de table, on double (en gros). Du coup les deux premiers niveaux durent une heure et les deux derniers 5 minutes. Cela dit je suis là pour m’amuser et je ne crois pas trop à l’éventualité de me retrouver en finale.

Je gagne trois pots monstrueux en début de partie : un avec la top paire au flop : je mise un gros montant pour coucher tout le monde, quelqu’un me paye avec la paire inférieur. Ensuite je flop un brelan que je slow play pour un maximum de rentabilité malgré le tirage couleur. Enfin je reçois une paire d’As au bouton Vu la quantité de joueurs déjà dans le coup, je place une relance démesuré pour coucher tout le monde. Un joueur paye. Le flop est peu menaçant, il check, je mise gros et empoche un nouveau pot de plus de 300. J’ai environ 2000 jetons. Après ce rush je ne vais plus recevoir de carte pendant deux longues heures. Il ne reste plus que 6 joueurs lorsqu’une double paire me remet à flot. J’ai un tapis de 2500 et un joueur me relance de 250 (blindes 50-100). Je sur relance à 1000 avec une paire de roi pour prendre le pot directement. Le relanceur me paye avec J/10 ! J’hallucine complètement, surtout lorsqu’il touche sa quinte ! Première bad-beat
Sur la main suivante, je relance à 350 avec K/J de trèfle. La grosse blinde fait tapis à 550 et un joueur paye ! Compte tenu de la taille du pot, je complète. Je ne flop rien et perd finalement contre Q/J (paire de dame). Le joueur qui a payé les 550 avait J/9 de cœur, sans commentaires. Je me retrouve short stack , mais les autres s’éliminent rapidement (les blindes passent en très peu de temps à 200/400). En envoyant le tapis à plusieurs reprises je me refais en volant les blindes. J’arrive un peu miraculeusement au moment fatidique ou il ne reste plus que 3 joueurs. Là encore je fais tapis aux bons moments. Je suis payé par une paire de 3 alors que j’avais K/10. Je touche mon roi et me retrouve de nouveau dans la course. Peu de temps après un de mes adversaires est éliminé et me voilà en finale. Mon adversaire à 5500 jetons et moi 3000. Les blindes sont à 500/1000. Je domine totalement le duel en mettant la pression sur mon adversaire sans pour autant risquer d’engager tous mes jetons. Le tournant de la finale vient lorsque je relance avec 10/4 la grosse blinde de 1500 et que mon adversaire se contente de payer. Il check le flop et j’envoie le tapis. Il se couche. Je le couvre désormais largement. Sur la main suivante il me relance et j’envoie le tapis avec 6/5 de carreaux. Il paye avec 5/4 de cœur. Il touche sont 4 mais le tableau final donne As-As-Q-Q-4 : je le bat au kicker et empoche $35 ! Pas mal pour un éternel second !

29 oct. 2007

Une réflexion sur les Cash Games

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En général les gens jouent au poker sous forme de tournoi. Tout le monde paye un montant fixe et les joueurs se partagent la cagnotte selon leur classement final. Cette façon de jouer exhorte l’esprit de compétition et permet d’oublier un peu que le poker est un jeu d’argent.
Il existe une deuxième façon de jouer : les parties d’argent ou cash games. Je suis récemment devenu addicted à cette autre façon d’appréhender le poker. Voici donc les raisons qui me font dire que les cash games, c’est beaucoup mieux.

Tout d’abord une précision sur la façon dont ces parties se déroulent :
Chaque partie se caractérise par un montant minimal et maximal de la cave (ou bring-in) que chaque joueur peu choisir, un niveau de blind, et éventuellement un nombre limité de recaves.
Par exemple, une partie avec des blindes de 5c/3c et des antes de 1c aura un bring-in maximal de 5€ et minimal de 2€. Si un joueur perd tout ces jetons, il a la possibilité de recaver pour 2€ minimum. Avec un telle structure, s’il y a 8 joueurs dans la partie, chaque pot contiendra 16 centimes avant que les cartes soient distribuées. Cela garantit un minimum d’action. A la fin de la partie les montants en jetons sont reconvertis en monnaie. Après un temps de jeu prédéterminé à l’avance, chaque joueur est autorisé à quitter la table à tout moment et empocher ses éventuels gains.

Les avantages des cash games :

1) D’un point de vue convivialité, il n’y a pas mieux ! Tout les participants peuvent jouer pendant toute la soirée, finie les décevantes éliminations précaires. Les blindes n’augmentant pas et compte tenu de la profondeur des tapis, il y a peu de risques de perdre tous ses jetons. Et si cela devait arriver, il y a toujours moyen d’en racheter pour rester dans le jeu.
De plus, si certaines personnes sont dans l’impossibilité de rester jouer toute la soirée, elles peuvent tout de même jouer pendant une heure ou moins. Les retardataires peuvent également rejoindre la partie en cours de route.

2) En tournoi, un incroyable coup de malchance conduisant à la perte de tous ses jetons est difficile à vivre car cela signifie la fin de la partie. En cash game il y a toujours la possibilité de racheter des jetons et ainsi de prendre sa revanche.

3) Les cash games permettent de jouer plus détendu : personne n’attend que les autres joueurs s’entre élimine. Pas de stress lié à la prochaine augmentation de blindes, pas de spectre de l’élimination juste avant les places payées.

4) Les cash games procurent des sensations uniques : jouer des sommes d’argent réelles (aussi faibles soient-elles) est toujours plus exotique que de jouer des masse fictive de jetons. Lorsqu’on gagne un gros pot, c’est beaucoup plus jouissif que lors d’un tournoi. Et lorsqu’on perd un gros pot, cela n’oblige pas à change de stratégie pour survivre à l’augmentation des blindes.

5) Du fait que les blindes n’augmentent pas, personnes ne se sens obliger à prendre des risques inconsidérés ou de faire tapis avant le flop. Le jeu est beaucoup plus pur qu’en tournoi.



Ci-dessus: Votre Serviteur dans ses oeuvres

22 oct. 2007

L'arnaque du Global warming ? (2/3)

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Avant de lire ce post je recommande à ceux qui ne l'on pas encore fait de prendre 10-15 minutes pour regarder le début du fim documentaire "la grande aranque du global warming", disponible ici.
Donc voilà, ce qu'il faut savoir concernant ce fameux documentaire c'est qu'il a été en partie discréditer par des journalistes au cours d'un débat sur la télé australienne donnant suite à la diffusion du dit film. Certains graphiques présentés dans le films étant incomplets, certains datant de 1970 etc...

En confrontant les deux films (celui d'Al Gore et celui-ci) j'en suis arrivé à deux constats:
1) Un documentaire tend facilement à "manipuler" le spectateur
2) Il existe bien un débat sur la validité de la théorie du Global Warming.

La dissertation que j'ai rendue se penche sur ce second point et je vous la retranscrit ici même pour ceux que ça intéresse. Je sais c'est très long et en anglais. Les titres des différentes parties figurent en gras, n'hésitez pas à feuilletez tout ça et à ne vous arrêter que sur les parties qui vous intéressent. Les chiffres entre paranthèses renvoie au références bibliographiques, c'est essentiel.

Je publirais un dernier post sur le sujet avec ma conclucsion sur ce que je pense de tout cela avec du recul. En lisant la disserte, gardez à l'esprit le fait que mon objectif premier était de décrocher une bonne note, pas d'exposer mes profondes convictions. Bonne lecture.

Climate change essay

"The Great Climate Change Swindle' and 'An Inconvenient Truth' present
opposing views on the effect of anthropogenic carbon emissions on global
warming. Comment on the validity of the arguments expressed in both
documentaries and present your own opinion in this debate.”

Intoduction

Nowadays, global warming is in every mind. Almost everybody has heard about it in the media and it seems that now, global warming is the only thing to blame when any single natural catastrophes or climate disorder occurs. According to CNN, “global warming will lead to rising sea waters, droughts and agriculture disasters in the future if unchecked” (1)
The Al Gore movie, “An Inconvenient Truth” (AIT), shares the same level of alarmism on climate change and defends the IPCC views on global warming. In the other hand, the movie “Great Global Warming Swindle” (GGWS) defends a very different thesis, claiming that CO2 has nothing to do with global warming and uses every common climate change skeptics arguments to prove is point. It is clear that both movies are going too far on their own directions. However, a quick research on the Internet reveals that, contrarily to what Al Gore claims in his movie, there is no consensus at all among scientists regarding climate change science.
In this essay, after debating about the relevance of both pre-cited movies, arguments against the CO2 causing global warming thesis will be examined in order to prove that CO2 has little to do with climate change. IPCC reports relevance and seriousness will be discussed and so would be the question of how hazardous and alarmist is global warming. Then element in favor with the IPCC thesis will be brought into the discussion before making the final conclusion which will be answering the following question: is CO2 the main cause of global warming and is global warming as threatening as the IPCC and Al Gore’s movie are claiming.


Relevance of AIT and GGWS movies.

The two following movies “the great global warming swindle” (GGWS) and “An Inconvenient true” (AIT) shares dramatically opposed views on global warming. This second movie was shown during a TV broadcast and the projection was followed by an argument that mainly discredits the movie. It appears that several parts of graphs and figures were missing and old graphics were sometimes used to prove a point that new available graphics would have discredit. Basically, what the filmmaker did consist of using only a part of a data set that agrees with is point to prove is theories. This process is commonly use by journalist and filmmaker to prove their point. Michael Moore’s movies, as brilliant as they could be, use the same kind of process: only focus on information that proves the filmmaker point of view. Using this kind of process is human and does not necessarily discredit the whole movie. But this is not science.

In the same way, AIT also contains a lot of false information. More than simplifying the link between CO2 emission and temperature increasing, it is on the effect of global warming that the movie goes to far. Among the numerous errors, several are now going to be examined.
The pictures of mount Kilimanjaro suggest that global warming is the cause of the melting snow. But studies have shown that glacier of mount Kilimanjaro started to disappear in 1880 (2), a long time before greenhouse gas emissions started. These studies also show that the average temperatures of the air never went above the melting point (2). Thus, the glacier is not melting but only shrinking. According to Kraser et al (3), what causes the decrease of ice cop is a modification of local climate that started in the early 20th centuries. Precipitation decrease involves not enough snow to replace the glacier ice. This has nothing to do with global warming.
Other pictures of European glacier are shown in the movie to prove global warming effects, not taking in account the fact that those glaciers started to disappear during the middle of this century, before anthropogenic C02 emission started to rise (4). An other fraud consist of showing images of the supposed current melting of the Perito Moreno Glacier (Pantagonia) which is only the normal process of a glacier moving from the mountain to the sea (5). Glacier had always been moving, this is basic knowledge.
More closely to our times, Al Gore uses recent natural catastrophes to enforce the global warming threat. According to him, hurricane Katrina is due to global warming, no matters that a climatologist working for IPCC has claimed that there was no evidence of any links and that the damage caused to New Orleans where due to dams default of conception (6). List of such false facts is long.


Effect of CO2 on global warming

Now that the point that both movies can’t be taken as scientific serious work and both contains false or partial wrong statement has been established, let’s move on the very topic of this discussion: the effect of carbon dioxide on global warming. The GGWS gives several arguments against the thesis that carbon dioxide drives climate changes. Those arguments are now going to be discussed.

First argument: CO2 concentration has been driven by increase in temperature in the past.

The major hypothesis in global warming thesis is that increasing carbon dioxide concentration in the atmosphere will increase the global temperatures. But if we look at the past ice records, it appears that temperature always increased in the first place, and that CO2 increasing follows by 200-800 years (7,8,9). One of the explanations of this increase of CO2 is that when temperatures increase, oceans get warmer and release more CO2 into the atmosphere (10). Even members of IPCC did acknowledge that. Those observations imply that no evidences that CO2 concentration drive climate change can be found in the past. Nevertheless, that does not necessarily means that CO2 has no effect of climate change. CO2 can still be a factor of aggravation in temperature increase, as it is suggested during the debate following the projection of the GGWS movie.

Second argument: During 1950-1970, no warming was observed, despite CO2 increase.

Another common argument used by skeptics is that during the economic growth period that followed the world war two, temperatures does not increased, even if CO2 concentration did. There is nothing about this anomaly in the last IPCC report and, as a mater of fact, there is no graphs showing CO2 concentration during this precise period (only graph related to the 1970-2005 and last 650 thousand years ago periods). On the other hand, the fact that temperatures didn’t increase during this period is clearly established in the IPCC report (11). The following figure from IPCC report 2001 (12) clearly shows this point.


The point is that if CO2 emissions drive climate change, why temperatures didn’t increase when CO2 concentration started increasing? As the IPCC reports are quite quiet about that, having doubts on this matter seems perfectly justified.

Third argument: Atmospheric temperatures from satellite and balloon data set.

The third important argument against the IPCC thesis is that temperatures of the atmosphere did not increase in the same way that the surface temperatures and they are indeed, below the surface temperature. According to the green gas effect theory, these temperatures should be more important in the atmosphere than in the surface, or at least about the same.
Indeed, atmospheric temperatures records from satellite are available since 1979. C.R. de Freitas explains that those data are more reliable and accurate than surface sample data (13). He also evocate the fact that those data are subject to discussion, as effect such as satellite orbital aren’t very well known. Thus, temperature measures from balloon match with satellite data. The results of all those measures (from satellites and balloons) show that atmospheric temperatures did not scientifically increase in the past twenty years and, moreover, that atmospheric temperatures are bellow surfaces temperature (on average). This has been confirms by the studies of the IPCC member J. Christy (14,15,16).
Those anomalies are present in the 2001 IPCC report and the following pictures are from this report.

But the summary for policymakers of the 2001 IPCC report doesn’t talk about those anomalies, only the full report mentioned them.

However, in the last IPCC report (2007), new figures are displayed. According to the report, new studies on satellite data has managed to find results that now match quite successfully the surface data. This is shown as a great victory in the last IPCC report, even if some methods are quite disputable. The report acknowledges that huge progress has been made since the 2001 report on interpreting and using satellite data. Different studies are cited and reasons for past mistakes are given. So it seems that new results are more reliable than old ones, even if studies cited are sometimes anterior to the 2001 report. The following figure is from the 2007 IPCC report and shows the new results:

However, it can be noticed that increase in temperature are far less alarming than the famous “hockey stick” figure. Moreover, the whole subject of satellite data interpretation is pretty controversial, even inside the IPCC work team (De Freitas, 13).


Fourth argument: models are not working

Another litigious point is that models that are used by the IPCC group work, the same models that predicts catastrophic future, still can’t predict event that occurred in the past. Lindzen claims in is allocution in front of the US senate in 2001 that “temperature increases observed thus far are less than what models have suggested should have occurred even if they were totally due to increasing greenhouse emissions. The invocation of very uncertain (and unmeasured) aerosol effects is frequently used to disguise this. Such an invocation makes it impossible to check models”. He also evocates the fact that models aren’t able to simulate properly distinct phenomenon such as past ice age and recent heat wave (El Nino) (17). Those problems are also mentioned by Professor P. Michaels (IPCC contributor) (18). The whole point is that if models based on CO2 thesis are correct, then they should be able to explain past climate change. And as they are not, they are probably not accurate, and so are their catastrophic predictions.


Fifth argument: CO2 concentration in the atmosphere is too low to have an effect.

This is a classical argument. It is known that the major green house gas in term of efficiency is not CO2 but water vapor (IPPC reports). Moreover the CO2 only represent 0,5% of the total atmosphere constituent and the CO2 has only increase by 30% over the past 30 years (6). And as C02 is normally a part of the natural green house warming process, thinking that a small modification on only one (and not the biggest) parameter that affect climate could lead to such a modification seems to be not really reasonable. The argument against this idea is that the process of warming through natural green house gas consists of a fragile equilibrium and that modifying this equilibrium (even a little bit) can lead to dramatic consequences. But during the past, CO2 concentration had experienced important change, sometimes without drastic consequences. The theory of this fragile equilibrium is therefore quite difficult to understand has the climate is, by definition, always changing.



The IPCC and Global Warming hazards

So far, critical points regarding effect of CO2 upon global warming have been discussed, and maybe except from satellite data, it has been shown that the CO2 guiltiness in causing global warming has failed to be proven. If CO2 was the only cause, past CO2/temperature records would have shown it. Difficulties of modeling the climate change and anomalies such as the ones encountered during the 1950-70 period also argued against the classic thesis.
Moreover, in addition to the fact that CO2 effects may have been overestimated, global warming effects have also been overestimated in the media, the Al Gore movies and the IPCC reports. Before going into details regarding that matter, it is useful at this point of the discussion to talk more about what is exactly the IPCC.

The IPCC (Inter Panel on Climate Change), thus, is an organization that has been set up by the UN in 1988 with the mission of studying the cause and effects of climate change. The IPCC is constituted by scientist from all the UN countries and divided into three working groups with the following different mission: a) assess available scientific information on climate change, b) assess the environmental and socio-economic impacts of climate change, and c) formulate response strategies (19). The IPCC write reports on their works (the two last ones were released in 2001 & 2007). The main report is more than 600 pages long and two summaries are written, the technical summary and the “for policymaker summary”. It is this last summary which is used by the media and the politician.
The way IPPC is ran involves several problem. The first one is that the summary report is written not only for policymakers but by policymakers (UN government representatives). Actually, the summary disagrees on several points with the main reports, and important facts that don’t agree with the main thesis are left behind in the summary for policymakers (19). Another criticized aspect of IPCC is that scientific contributors are chosen because of their country of origin more than for their competences. It is thus clear that IPCC is more political than scientific. Several contributors are even defending that CO2 may not be the main cause of global warming (P. Reiter, R. Lindzen, P. Michaels, J. Christy…). In conclusion, IPCC does not appear to be the most truthfully source of information, and the influence that it has on media and policymakers is not really based on scientific matter as the summaries do not reflect all the aspects of the main report.

Furthermore, helped by IPCC reports, global warming issues have now taken an important place in the media. In fact, we are now been told that human kind has never been as threaten as it is now. But is global warming such an alarming issue?
First, it can be noticed than projections and models from the last two IPCC reports are becoming less alarming. In the 2001 report, the increase in temperature by 2100 was predicted to be from +1,4°C to +5,8°C. In the 2007 report, the increase is predicted to be from 0,5°C to 3,5°C, even if the global situation regarding the CO2 release is reckoned to be worst than it was in 2001. Second, temperatures are not rising as fast as the “hockey stick” was predicting (see figures from satellite data).
Moreover, consequences of this warming are not as bad as it should be. The following picture is from the 2007 IPCC summary for policymakers and can also been found in the main report. It clearly shows that ocean level started to rise before any green house gas emission started, and that this evolution has been mostly constant since 1950. No global warming effects can really been observed yet.

Evolution of sea level from 1850 to 2005 (IPCC 2007 report)
The fact that sea level are not dangerously increasing is also claims by other scientist such as Singer (20,21) and Church and al. (23)

The last thing concerns the global warming effect on natural disaster. Even according to the 2007 IPCC reports, “Single extreme events cannot be simply and directly attributed to anthropogenic climate change” (IPCC 2007 report p310) and IPCC 2001 Report (IPCC, 2001b, p. 5) states that “no systematic changes in the frequency of tornadoes, thunder days, or hail are evident...” (IPCC, 2001b, p. 5). Moreover, studies based on simulation has shown that an increase of CO2 will product a decrease of frequency of tornados (24) and other studies such as Michaels and al. has shown that warming will not increase the frequency of hurricanes (25,26). That confirms that AIT was a too far alarmist movie.
To go even further, some scientists are claiming that global warming would also have good consequences. Some studies actually have shown that a greater level of CO2 in the atmosphere increases plant growth and is profitable for agriculture (27). The main idea is that measure that should be taken to fight global warming would cost more and would have more negative effect on human kind that global warming consequences (good and bad ones) would have. Even if this point of view is extreme, it counter balance the idea that global warming will lead to the end of the human kind.

Finally, a last publication that adds new argument against the IPCC view has been recently published (28). In his paper, Dr G Stanhill tries to drawn intention to an important factor that should influence the climate and ask the very question: why this important factor has not been taken into account by the IPCC, in none of his reports. The factor is the modification that occur in the sun radiation on earth surface. This is influenced by cloud density and regarding this factor, two periods have been identify. The Dimming where solar radiation was lower that they usually are occurred between 1950-70 and the Brightening that is happening since 1980. Important literatures is available on this subject (29) and the fact that this aspect is not mentioned in the IPCC reports is quite surprising. Dr Stanhill doesn’t draw conclusion on the way these factors affect global warming but mentioned the facts that these factors influence global warming and insist on the fact that they are not mentioned in the IPCC reports.

Additional views

To conclude this discussion, it is important to moderate what have been written before with other perspectives. To summarise, we have seen that CO2 was not as likely as the IPCC was telling us the cause of global warming. IPCC seriousness has been discussed and it appeared that this organisation was at least as much scientific as political. And hazardous effects of global warming have been minimized compare to what the IPCC and mostly the media claim.
Nevertheless, some other consideration should be taken on this very serious matter.
The first point would be that, even if there is more serious so-called sceptic among the scientist community, they are still a minority. That doesn’t mean that they are wrong, but that on certain points (such as the polemic around the satellite data), serious studies proving both theses do exist.
Secondly, even if argument such as the fact that in the past, temperature did increase before CO2 (seen first argument), this does not prove that CO2 has no effect on global warming. That only proves that C02 didn’t have a major impact on climate change in the past. Furthermore, some of the sceptic are not only trying to prove that CO2 has nothing to do with climate change but also argue that global warming does not really exist (6). This point of view is too extreme and even if the IPCC is political, important interests are also involved in the other side. No global warming would be better for economy, at least in short term.
Moreover, even if IPCC is not the most truthfully organisation, the 2007 main report refers to important new studies that agree with the fact that global warming is real. Considering that the last IPCC report only contains lies and false scientific facts would be ridiculous and hazardous.

CONCLUSION

After considering all the arguments and after taking in consideration the recent studies evocated in the last IPCC report, it is difficult to adopt a clear point of view. Nevertheless, here is what can be suggested.
First, the CO2 causes and influences on global warming are not clear. But CO2 is unlikely to be the only cause of global warming. This hypothesis has failed to gives evidences. Secondly, climate change science is a very complex matter which requires a lot of care and should not suffer from an only single point of view. Understanding the different cause and consequence of climate change is a top issue, but this should not involve political debates and should be let to science.
Third point, it is clear that global warming is less threatening that the media would say. But in the other and, global warming is still real and should not be underestimating. Almost all scientists agree that global warming is real, they just don’t agree on the alarmism that should be applied to the situation (Lindzen). However, the way we consider global warming represent, at is own level, is hazardous. By overestimating this threat, wrong decision will be taken and instead of going nowhere, we might just go in the very wrong direction. Only focusing on CO2 might have dramatic effect on the environment. As far as we know, CO2 is not a pollutant, only a green house gas. For example, nowadays, more and more sugar cane is grown through the world in order to produce bio fuels. This as a dramatic effect on the struggle against starvation in developing countries, lead to deforestation in South America and destroy ecological nests in Western Europe (30).
But in the other hand, assuming than CO2 as nothing to do with global warming and going back to the old habits would have dramatic effect on ecology in general. Sustainable development should be encouraged and putting ecological consideration under the light is a suitable thing.
Science and politics shouldn’t interfere as long as it is not necessary. We should remain very careful on the climate matter but still don’t fall for stupid things because some alarmist people are telling us than in few decades, most of the land will be under the seas.


References:

(1): http://www.climat-sceptique.org

(2): Molg, T., Hardy, D.R. and Kaser, G. (2003), Solar-radiation-maintained glacier recession on Kilimanjaro drawn from combined ice-radiation geometry modeling. Journal of Geophysical Research n°108

(3): Kaser et al, (2004), Modern Glacier Retreat on Kilimanjaro as Evidence of Climate Change: Observations and Facts. International Journal of Climatology. N°24: 329-339

(4): http://en.wikipedia.org/wiki/Retreat_of_glaciers_since_1850.

(5): Wikipedia, Perito Morena Glacier, http://en.wikipedia.org/wiki/Perito_Moreno_Glacier.

(6): Lewis, M., A Skeptic’s Guide to An Inconvenient Truth, September, CEI (2006).

(7): Fischer, H., Wahlen, M., Smith, J., Mastroianni, D. and Deck B, (1999), Ice core records of atmospheric CO2 around the last three glacial terminations, Science 283: 1712-1714.

(8): Pearson, P., and Palmer, M., (1999), Middle Eocene seawater pH and atmospheric
carbon dioxide concentrations, Science, v. 284, p. 1824.

(9): Rothman, D.H., (2002), Atmospheric carbon dioxide levels for the last 500 million
years, Proceedings of the National Academy of Sciences USA, v. 99, p. 4167-4171.


(10): Segalstad, T.V., (1998), Carbon cycle modelling and the residence time of natural and anthropogenic atmospheric CO2: on the construction of “greenhouse effect global warming” dogma. In: Bate, R. (ed.). Global Warming the Continuing Debate. Cambridge, UK. European Science and Environmental Forum, p. 184-218.

(11): Third IPCC report (2001), p34

(12): Third IPCC report (2001), p3

(13): De Freitas C.R., (2002) Are observed changes in the concentration of carbon dioxide in the atmosphere really dangerous? Bulletin of Canadian petroleum geology vol 50, n°. 2, JUNE, p. 297-327.


(14): Christy J., Goodridge J.D., (1995) Precision global temperatures from satellites
and urban warming effects from non-satellite data. Atmospheric Environment, 29, 1957-1961.

(15): Christy J., Parker D.E., Brown, S.J., Macadam, I., Stendel M, and Norris W.B., (2001)
Differential trends in tropical sea surface and atmospheric temperatures since 1979, Geophysical Research Letters, v. 28, no. 1, p.183-186

(16): Christy J., Spencer R.W. and Braswell W.D., (2000), MSU tropospheric temperatures:
dataset construction and radiosonde comparisons, Journal of Atmospheric and Oceanic
Technology, v. 17, p. 1153-1170.

(17) : Testimony of Richard S. Lindzen before the Senate Commerce Committee on 1 May 2001, USA. http://www-eaps.mit.edu/faculty/lindzen/Testimony/Senate2001.pdf

(18): Patrick Michaels, (2006) “Hot Tip: Post Misses the Point!” World Climate Report, January 31, , http://www.worldclimatereport.com/index.php/2006/01/31/hot-tip-post-misses-the-point

(19) : De Freitas C.R., (2002) Are observed changes in the concentration of carbon dioxide in the atmosphere really dangerous? Bulletin of Canadian petroleum geology vol 50, n°. 2, JUNE, p. 297-327.

(20) : Singer, S.F., Climate change and consensus, Science, v. 271, p. 581 (1996).

(21) : Singer, S.F., (1999) Hot Talk, Cold Science: Global Warming’s Unfinished Debate (2nd edition). The Independent Institute, Oakland, CA., p110, (1999)

(22) : De Freitas C.R., (2002) Are observed changes in the concentration of carbon dioxide in the atmosphere really dangerous? Bulletin of Canadian petroleum geology vol 50, n°. 2, June, p. 300.

(23) : Church, J. A., (2006) Estimates of the regional distribution of sea-level rise over the 1950-2000 period, Journal of Climate n°17 p. 2609-2625

(24) : Nguyen K.C., and Walsh, K.J.E., (2001) Interannual, Decadal, and Transient Greenhouse Simulation of Tropical Cyclone-like Vortices in a Regional Climate Model of the South Pacific. Journal of Climate, v. 14, p. 3043-3054


(25) : Michaels, P.J. and Knappenburger, P.C. (1996) Human effect on global climate, Nature, v. 384, p. 522-523.

(26) : Michaels P. J., Balling, R.C., Vose, R.S. and Knappenburger, P.C. (1998) Analysis of
trends in the variability of daily and monthly historical temperature measurements, Climate Research, v. 10, p. 27-33.

(27) : Friends of science website (http://www.friendsofscience.org) and more specifically: http://www.friendsofscience.org/assets/FOS/FOS4.mov

(28): Stanhill G., (2007) A Perspective on Global Warming, Dimming, and Brightening, Eos, Vol. 88, No. 5, 30 January

(29) : http://www.greenhouse.crc.org.au/crc/research/c2_bibliog.htm

(30) : Nicolino F., La faim, la bagnole, le blé et nous, une dénonciation des bio-carburants, Fayard (Ed), October 3 (2007)





18 oct. 2007

L’arnaque du global warming !

'
Suite au film d’Al Gore et à la sortie du 3eme rapport de l’IPCC (International Panel on Climate Change), quelques voix se sont élevés pour contester l’alarmisme dont fait preuve “An Inconvenient Truth”. Certains vont même plus loin en contestant le fait que le CO2 serait la cause du réchauffement climatique. Un film controversé (The Great Global Warming Swindle, ou l’arnaque du global warming) expose les arguments de ces scientifiques.
Si j’en parle ici c’est également parce que cette polémique était le sujet d’une dissertation que je devais faire en cours. Après avoir visionné les deux films, (celui d’Al Gore et TGGW) nous devions choisir une des deux thèses, l’étudier et dans la mesure du possible la défendre.

Donc voilà je vous mets les liens dailymotion pour LE film qui démonte la théorie du GW. Les deux premières parties sont les plus intéressantes. N’hésitez pas à laisser vos commentaires ! Dans un prochain message, je publierais ma dissertation (qui m’a valu l’une des meilleures notes de la classe ^_^).

The Great Global Warming swindle:

Partie 1: cliquez ici

Partie 2: cliquez ici

Partie 3 et + sur dailymotion !

14 oct. 2007

Wax Tailor

Du bon hip hop comme on l'aime, loin des merdes commerciales qu'on peut trouver de part chez nous. Et une mention spéciale au clip qui n'a rien à voir avec les cliché grosses bagues, grosses caisse et gros nibars au bords de la piscine.

France - England

Sans commentaire

12 oct. 2007

IT'S UP TO YOU: Radiohead libère sa musique

.
Le mythique groupe de rock/electro anti-conformiste sort (enfin) sont 7e album.
Mais pas n’importe comment : uniquement online ! Autoproduit et auto distribué via leur site officiel, ce nouvel opus signe la rupture définitive du groupe avec sa maison de disque. L’album est disponible en téléchargement (simple album) ou en pré commande (coffret). En choisissant la seconde formule vous recevez un code pour télécharger l’album numérique et recevrez le coffret le 3 décembre. Le dit coffret contient l’album téléchargeable en CD dans une boîte, un second album exclusif (8 titres supplémentaires), un vinyle et des photos inédites. Le luxe à un prix : 60€. Mais et qu’en est il du coût de l’album en version simple me demandez-vous ? Et bien tout est dans le titre de ce post, ainsi que sur le screenshot suivant :






Une formidable initiative en ces temps obscurs ou le téléchargement est roi. Je suis entrain d’écouter les premières chansons et déjà je suis fan de la piste 2 : « bodysnatchers ». Un super son !
Accès direct au site: http://www.inrainbows.com/Store/index2.htm

PS: Merci Dad' pour l'info initiale !

10 oct. 2007

Parfois ça fait du bien de se faire du mal...

Bon vu que j'ai fain et que je viens de tomber par hasard sur une photo de mon Bro que je trouvais classe j'écris un petit paragraphe sur un des petits éléments qui différencie l'Australie de chez nous: les fast-foods. Ici ils sont partouts, et ils sont pas chers. Je pense pas qu'il y ai tellement plus de MacDo à Sydney qu'à Paris, mais ici fastfood ne se résume pas à MacDo. KFC (Kentucky Fried Chicken) est un peu plus cher et ne sert que du poulet. Idem pour "Oporto" la classe en plus. Burger King (ici connu sous le nom de "Hungry Jacks" brille par son manque cruel de choix et ses prix encore plus bas. Le cheesburger à $2 (1,3€) est bien plus gros et meilleur que le chessburger vendu chez MacDo par chez nous.
En plus de ces quatres grosses chaines on retrouve le traditionel "Subway", des kebab sans frittes à 3€, des fast foods asiatiques à la pelle etc...
Les restau asiatiques pratiquent des prix spéciaux le midi. On peu ainsi trouver des grosses portions de poulet-riz-curry ou noodles pour 4 à 6€.

Pour finir ce guide culinaire, deux choses:

1) Je n'ai jamais compris pourquoi les gens se font des MacDO sachant que ça revient toujours à plus de 6€. Ici la malbouffe c'est pas chère, et avec du recul, c'est tout de même un minimum.

2) Sur la fameuse photo: Pour 6€ on s'est tapé la taille minimale de l'équivalent du menu best of de MacDO, mais chez KFC. Un GROS chicken burger avec plein de truc dedans, dont une tranche de vrai bacon. Délicieux. 4 petites ailes de poulet fris, 35cl de peps, des frites et un petit bol de puré avec une sauce chelou. Yammi !

9 oct. 2007

Surfing @ Bondi

.


Parmi les nombreuses activités passionnantes auxquelles nous nous sommes adonnés, mon frère et moi, le surf fut probablement la plus importante. Une première session de bodyboard pour se faire la main puis deux sessions de surf. Au cours de la première j’étais à deux doigts de réussir à me lever. La seconde fois, les vagues étaient trop grosses pour moi. Quoi qu’il en soit voici un petit clip vidéo, pour le plaisir.



7 oct. 2007

Australia 10-12 England

Une soirée très sportive. À 19h j’ai rejoint mes amis pour aller voir un match de foot au stadium : Sydney vs Melbourne. Mes amis anglais étaient déjà saouls et mettaient l’ambiance. Heureusement car cette rencontre au sommet du championnat australien ne brillait pas par sa qualité de jeu (ça faisait mal au yeux). Le stade de 30000 personnes était à moitié vide, mais les supporters étaient un peu moins cons que les supporteurs footeux de chez nous. Au final un joueur de Sydney c’est fait exclure à la 10e minute et à la 80e Melbourne à marquer le seul but du match le plus ennuyeux qu’il m’ait été donné de regardé.
Après cet échauffement de voix direction la City pour regarder LE match Australia-England. D’un point de vue économique, l’enjeu est de taille et une défaite des wallabies aurait des retombées négatives importantes (source : Sydney Morning Herald). On a lutté pour trouver un pub qui n’était pas déjà complet et notre groupe a été divisé en 2. Je me retrouve avec 5 anglais dans un pub supportant majoritairement l’Angleterre. Fait chier, me voilà obliger de supporter nos ennemis jurés !
Ambiance chaude, de nombreux « go England » et chants de supporters. La bière et la sueur coule à flot. Lorsque la fin de match est sifflée, tout le monde devient fou et les gens s’arrosent avec leurs bières pour célébrer la victoire. Bref un truc de ouf. Pendant un instant j’ai vraiment regretté de ne pas être anglais. Y a pas à dire ils avaient la classe avec leurs polo rouge et blanc frappé d’une rose et du « 2003 Champions ».

D’un point de vue du match, bien qu’étant un novice en la matière, j’ai assisté à une rencontre de grande qualité. Une véritable bataille rangée ou chaque pouce de terrain gagné se mérite. Aucune passe manquée de part et d’autres, une seule touche concédée etc. L’Angleterre à su pousser la défense australienne à la faute. L’Australie à probablement perdu le match par manque de réussite lors des pénalités, bien qu’ils ont inscrits le seul essai du match.

Et ce matin en me levant je découvre que la France à battu les All Blacks ! J’ai trop hâte d’être à Samedi prochain, en espérant qu’on « kick their ass » à ces rosbeef !

29 sept. 2007

Baisse d'activité temporaire

Pour une raison simple, mon frère viens d'arriver en Australie. Avant de partir dans le bush bosser dans un parc national, il passe une semaine avec moi à Sydney. Ca tombe bien je suis en vacances pour une semaine. Normalement on devait en profiter pour aller là bah, loin de Sydney mais pour à cause du nombre élevé de rapport que je dois rendre pour la rentrée, on se contente de rester ici à boire des bières.

24 sept. 2007

Cairns: Jour 4&5 (the end)

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Après un bain matinal dans la piscine du backpacker (à 9h du mat il faisait déjà super chaud), on s’en va visiter les botanics gardens de Cooktown. Nous avions visité le centre ville (en réalité une grande rue) la veille (désolé pas de photo).
Les botanic gardens donc, ressemblent plus a une jungle aménagée qu’a des jardins. Un chemin permet de traverser la forêt dense pour déboucher sur une première plage « paradisiaque ».




Le chemin longe ensuite la côte et permet de s’arrêter sur d’autres plages.





Pris par le temps nous faisons finalement demi-tour pour retourner à la voiture. Un long trajet nous attend pour rejoindre Mission Beach, à 150km au sud de Cairns.


Sur la route du retour je photographie un nouveau panneau « kangourou », avec le panonceau cette fois (la classe). On s’arrête de nouveau à Lakeland pour le déjeuner. Et là je déguste le meilleur hamburger que je n’ai jamais mangé ! Un pain chaud et croustillant, des oignons fris, des légumes bien frais et rafraîchissants (salade, carottes et l’incontournable tranche de betterave) et un steack bien gros et délicieux ! Juteux et croustillant, the best burger ever !



Arrivée à hauteur de Cairns on prend la route intérieure et découvre de nouveaux paysages. Tout d’abord arides, on traverse ensuite une campagne vallonnée rappelant le bocage normand mais en plus verdoyant. On arrive à la nuit tombée au backpacker de Mission Beach. Une grande maison en bois qui donne l’impression d’avoir été construit dans un arbre, perdu au milieu de la forêt luxuriante. Le mec qui nous accueille est à moitié sous et nous donnent les combines pour ne pas payer l’accès internet ou les machines à laver. Ambiance chaleureuse et un peu hippie !



Le lendemain j’apprend que je dois nécessairement prendre un bus à 11h pour ne pas rater mon avion. Le matin, sous un soleil de plomb, on se pose à la plage avec une Française rencontrée au backpacker la veille. Un dernier bain dans cette eau cristalline à 26°C avant de retourner sur Sydney et à mon essai de management (remeber ?).


Dernier commentaire : le MacDo que je me suis (enfin) tapé à Cairns était dégeu, rien à voir avec le burger de la veille.

PS : j’ai beaucoup filmé pendant ce voyage, la route surtout. Dès que je trouve le temps je posterais les vidéos sur le blog afin de vous donner une meilleur idée des paysages reculées de l’Australie.