28 août 2007

Mon emploi du temps

La rentrée approche et les emplois du temps des diff"rentes options à l'A7 sont dispo. Je suis allé faire un tour pour voir ça m'a fait mal aux yeux. Du coup juste pour le fun je vous mets mon emploi du temps, chers collègues.

Avant de hurler à la mort, rapellez-vous deux choses:
1) Les TP du lundi j'en ai eu qu'une seule séance jusqu'a présent.
2) J'ai beaucoup de travail en dehors des cours. Beaucoup. Mais du coup un seul partiel :p


Stratégie Pokérienne: Le continuation bet

Hier je suis retournée au pub qui organise des tournois de poker freeroll avec $250 de prize pool. Je vous raconterai ça en détail dès que j'aurais des photos. En attendant, un petit article de stratégie que je pensais avoir déja publié. Bonne lecture.

Le continuation bet

Le continuation bet est une autre action stratégique classique à connaître pour en faire bon usage et pour reconnaître les situations où l’adversaire y a recours.

On parle de continuation bet lorsque après avoir relancé pré-flop, vous misez de nouveau au flop alors que vous n’avez rien touché.

Exemple : Vous recevez As/Queen et relancer de 3 grosse blinde avant le flop. Un adversaire vous paye (avec K/Q). Le flop vient : 10-8-4. Vous n’avez pas amélioré votre main. Mais la plupart du temps, votre adversaire non plus ! En effectuant un continuation bet, vous vous donnez une seconde chance de coucher votre adversaire. Alors qu’en vous contentant de checker, vous sentant faible, il risque de miser quelle que soit sa main. En misant le premier vous empêchez l’adversaire de recevoir une carte gratuite au turn et vous pouvez même forcer des adversaires avec un meilleur jeu que vous (une paire de 5 ici par exemple) à vous abandonner le pot.
De même, si vous êtes persuadé que votre adversaire effectue un continuation bet sans rien en main, une bonne idée peut être de le relancer, ou de le payer.


Quel montant miser lors d’un continuation bet ?
La mise ayant pour but de coucher l’adversaire, elle doit être conséquente, sans être trop importante afin de ne pas persuader l’adversaire qu’il s’agit d’un bluff. 70% du pot est en général le montant idéal.

Dernière recommandation : ne pas utiliser le continuation bet contre plus de deux adversaires.

Un dernier exemple pour finir :

Vous recevez A/J ainsi qu’un de vos adversaire. Vous relancer de 3 grosses blind et l’adversaire avec A/J vous paye. Le flop vient : 10-3-2. Vous checker (Erreur !) et votre adversaire fait de même. Le turn vient : Dame. Vous checker de nouveau et votre adversaire mise. Il paraît fort probable qu’il a la dame. Vous vous couchez logiquement.
Si vous aviez effectué le fameux contination bet au flop, votre adversaire se serait probablement couché et vous auriez gagné le pot.

26 août 2007

La révolution des crabes

J'avais déja vu cette vidéo quelque part, je viens de la retrouvée sur dailymotion.
Si vous avez 5 min à perdre c'est bien sympa.

"Dans les fonds marins de l'Estuaire de la Gironde, vivent les Pachygrapsus Marmoratus: une sous-espèce de crustacés totalement idiots... "

19 août 2007

Sicko!


Ce weekend je suis allé voir Sicko!, dernier film de Michael Moore. Sortis depuis un bon mois aux USA (et en France je suppose), il vient de parvenir jusqu’en Australie.

Ce documentaire est une sorte de brûlot, au même titre que Fahrenheit 9/11. Ce n’est plus G.W Bush et sa politique poste 11 septembre qui est visée, mais le système de santé américain. Et plus particulièrement le système de l’assurance maladie. Un sujet bien loin de nos préoccupations de gentils français, mais qui ne m’a pas empêché de passé un superbe moment.
Tout d’abord, ce film m’a beaucoup touché. Non pas à cause des terribles histoires qu’il raconte, mais plus par la façon si particulière qu’a Michael Moore de traiter son sujet ainsi que la conception du monde qui se cache derrière ce film.
Ensuite le passage dépeignant la France et notre système de santé m’a beaucoup amusé. Bien sûr, seuls les bons côtés sont abordés, mais cela aide à prendre conscience de la chance que l’on a d’être français et m’a redonné un peu de fierté nationale, si loin du pays !

Bien que l’on ne soit pas directement concerné par le sujet, je recommande fortement ce film. Pour les idées qu’il véhicule, pour le côté artistique (quel as ce Michael !), pour l’humour qui si cache, et parce que je pense qu’aujourd’hui notre système de santé est en danger. On entend ici et là que la sécu est vouée à sa perte, et que l’on va devoir se rapprocher du système américain. Il est donc intéressant d’en avoir un aperçu. Je développe ce dernier point dans un second poste pour plus de clarté.

Are we gonna get Sicko ?




J’attendais d’avoir vu le dernier film de Michael Moore (Sicko! , que je recommande à tous) pour ouvrir un débat sur notre système de santé. Si le film dépeint notre système d’assurance maladie comme idéal (« lorsqu’on voit vivre les français, on comprend pourquoi notre gouvernement tient tant à ce qu’on les détestes : ils ont peur que l’on se mettent à vouloir vivre comme eux. En tout cas, j’en ai vu assez pour give up my freedom fries* » Michael Moore, Sicko ! , citation inexacte), je ne peux m’empêcher de penser qu’il a été plus que dégradé depuis quelques années. Depuis 2002 en gros, sans vouloir entrer dans des considérations trop politiques. Depuis que de nombreux médicaments ne sont plus remboursés, on se soigne de moins en moins bien, sauf si on en a les moyens. Le coup que je ne digère toujours pas, c’est l’instauration du médecin traitant. Avec cette connerie, j’évite un maximum d’aller me faire soigner. De nombreux amis ont du allonger des montant parfois très importants suite à une blessure au ski, avec des délais de remboursement parfois très long. Et qu’en on est étudiant ou avec de faibles moyens, ce n’est pas toujours évident. Alors je veux bien croire que ces sales feignants de français aillent voir le médecin pour n’importe quelles raisons et qu’ils gaspillent les sous de l’état. Mais alors, pourquoi toutes ces mesures drastiques qui nous font Ch... n’ont pas diminué le déficit de la sécu ? Le problème ne se situerait pas autre part ? C’est tout de même bizarre qu’en diminuant les dépenses, les recettes diminuent également...
On entend dire ici et là, par nos dirigeants notamment, que notre système cours à sa perte, qu’il sera inévitable de se résoudre à en changer. Pour un système plus « américanisé ». Et bien qu’en on regarde Sicko! , ça fait peur !
Plutôt que de construire un nouveau porte avion pour faire joujou, ne vaudrait-il mieux pas investir dans les hôpitaux qui manquent cruellement de personnel et de matériel, injecté des sous dans les caisses de la sécu, se demander pourquoi les Français qui ont 5 semaines de congé payé par an sont les plus gros consommateurs d’anti-dépresseur au monde, envoyer des médecins dans les campagnes et embauchés plus d’infirmières ? Le débat est ouvert.

(*) Suite au veto de la France à l’ONU concernant la question de la guerre en Irak, certains états américains ont décidé de changer l’appellation French Fries (désignant les frittes, tel qu’on peut en manger au MacDo par exemple) par l’appellation « Freedom fries ». Et ce n’est pas si drôle que ça

Blue Montains




Cela allait faire six semaines que j’étais en Australie, et je n’avais toujours pas quitté Sydney. À quoi ressemble le bush, l’outback Australien ? Un début de réponse allait me parvenir ce weekend.
Pendant cinq jours, j’ai eu le plaisir d’accueillir une seconde amie en provenance de l’A7, Lauréline. Je mettrais bien une photo pour ceux qui ne la connaissent pas mais je n’ai pas pu obtenir les droits...
C’est en sa compagnie que j’ai enfin pu me rendre dans les Blues Mountains.

Le train qui quitte Sydney pour se diriger vers les Blue Mountains traverse un paysage très urbain. Après une heure de route, on s’éloigne de la ville pour apercevoir un peu de la campagne environnant Sydney. On peut alors voir des étendues verdoyantes, bien loin des terres arides que j’avais imaginées. On arrive à finalement à Katoomba, ville perchée à 1100 m d’altitude, un des point culminants du massif.
Les Blue Mountains se dressent comme une barrière naturelle entre les plaines côtières de Sydney et les terres intérieures, plus arides. Ce massif défia longtemps les premiers colons qui mirent plus de 20 ans à trouver un passage vers ce qu’ils espéraient être de nouvelles terres cultivables. Le nom de cette chaîne vient du fait que les forêts d’eucalyptus qui la recouvrent dégagent un halo de vapeur bleuâtre. Les photos ne rendent compte que partiellement de ce phénomène. Le manque de lumière et la qualité moyenne de mon appareil en sont les premiers responsables.












Ci-dessous, les Three Sisters, formation rocheuse des plus originales. Des points de vue et des chemins bétonnés ont été aménagés pour pouvoir les contempler. Beaucoup de touristes malgré le temps mitigé. Beaucoup trop à mon goût.



Nous sommes tout de même descendu jusqu'à la première des trois sœurs avant de prendre un chemin entièrement fait d’escaliers qui descendent 400 mètres de falaises de façon vertigineuse. On plonge ensuite dans une forêt dense qui me rappelle la forêt de Brocéliande, mais avec de bien curieux arbres et un parfum d’eucalyptus peu prononcé mais bien particulier.



Après deux heures de marches, l’on remonte de nouveau en haut des falaises que l’on longe sur quelques kilomètres, ce qui nous permet de découvrir de nouveaux points de vue sur la vallée. On se promènera également dans Katoomba et ses chocolateries.


Les Blue Mountains sont donc plus des falaises et des hauts plateaux couverts de végétations que de réelles montagnes. Elles me renvoient une image très différente de ce que je me faisais de l’Australie.

13 août 2007

Stratégie Pokérienne: Le probe bet

Le nom de probe bet (de bet = pari et probe = sonde) désigne une façon particulière de jouer au flop. Il s’agit d’une action stratégique ayant pour but de prendre la température. Il est important de connaître ce move pour l’utiliser à bon escient et pour savoir reconnaître une situation ou un adversaire y à recours.

Le probe bet donc, consiste à miser une somme relativement faible au flop (50% du pot maximum) pour se donner plus de lisibilité. En général, la règle veut que si vous ne touchez rien au flop, vous ne misiez pas. Mais qu’en est-il lorsque vous touchez quelque chose de faible ?

Exemple : vous avez dame valet (Q/J) et le flop donne As/J/4. Vous avez paire de valet mais vous craignez qu’un de vos adversaire possède un as. Vous êtes le premier à parler. Plutôt que de checker, vous pouvez effectuer un probe bet de 30 à 50% du pot. Cela vous octroie une grande visibilité pour le reste du coup. Si vos adversaires passent, vous empochez le coup. Si on vous paye, les adversaires ont probablement du jeu, mais pas forcément l’as. Si on vous relance, vous êtes probablement battu et vous pouvez alors vous couchez. Cette façon de jouer vous permet de sauver beaucoup de jetons par rapport au simple fait de checker : cela réduit les chances que l’on vous bluff, vous permet parfois de remporter des pots facilement et sans prises de risques, et vous évite de vous embarquer dans des coups compliqués et périlleux.

Que faire si l’adversaire effectue lui-même un probe bet ? Le mieux est probablement de le relancer de manière significative, quelle que soit votre main. La plupart du temps, il se couchera.
Ce qui veut dire que le fait de sur relancer le relanceur après avoir effectué le probe bet peut être une bonne idée...

Dernier point : il peut être très intéressant de faire un probe bet avec un jeu énorme pour piéger l’adversaire. Cela peut s’avérer plus efficace que le classique check raise (on check puis on relance) puisque cela hôte toute visibilité à l’adversaire.

Un bon exemple de l’utilisation du probe bet par les pros dans la vidéo de la finale du HORSE des WSOP 2006 (première main après une intro de 2 min environ):


Sur ce je m'en vais participer à un tournoi de poker dans un pub local. Une trentaine de joueur, inscription gratuite mais 100$ offert par le pub pour les premiers! Je vous en reparlerais...

9 août 2007

Ça donne la patate !

Hey !

Je vous mets ci-dessous le lien dailymotion pour le concert live de Manu Chao : Radio Bemba Sound System à Paris (2002). Persos, après 5 minutes de visionnage, j’ai une pêche d’enfer. Voici la meilleure partie du concert selon moi. Plein écran et son à fond !


http://www.dailymotion.com/video/xjhcn_manu-chao-radio-bemba-3_music
Dans cette partie on retrouve un enchaînement de quatre chanson difficile à démêler qui commence après 2-3 minutes et qui s’achève par l’énorme tube Mala Vida.

Les autres parties du concert sont accessibles directement via dailymotion.

7 août 2007

Musique de la semaine

Nouveau morceau que je vous invite à découvrir ou re-découvrir: Karmacoma de Massive Attack. Ça paraît simple, ça dépote, et ça cache des heures de boulot.

Niveau album, pourquoi ne pas ressortir des tiroirs poussiéreux un vieux disque comme cet excellent Kind of Blue de Miles Davis ? Un grand classique du jazz, merci à Gillou de me l'avoir fait découvrir.

Je termine par un autre vidéo clip qui ne m'a pas laissé indifférent, bien que je connaissais déjà la musique.

6 août 2007

Cash Game

Ceux qui me connaissent bien savent sûrement que parmi mes grandes passions figurent la randonnée, le montage vidéo, la musique et le POKER bien sur.
Or depuis que j’ai quitté notre beau pays, fini les petits tournois à 2€ entre amis et fini les partis à 1$ sur Everestpoker...

Fort heureusement, j’ai fini par trouver des joueurs ici à Sydney. Je profite donc de ma première partie de poker « internationale » pour inaugurer la rubrique poker de mon blog. Rubrique qui comportera des récits de mes aventures pokériennes, des liens Internet vers des vidéos sympas, et des articles en tout genre (sans doute).

Cette première soirée à donc eut lieu il y a 15 jours maintenant. 5 joueurs seulement : Vôtre serviteur, Nico (Allemagne), Christian (Danemark), James et Scott (UK).
Nous avons jouer au Texas Holdem en No-Limit au cours de deux parties : un tournoi « winner-take all » et un cash game.

1) Winner take all

5 $AUD soit environ 3€ de buy-in. Une sympathique cagnotte pour le futur vainqueur.

Je ne vois pas de jeu lors des premières mains, ce qui me laisse tout le temps d’étudier les autres joueurs. À ma gauche Christian joue intelligemment, mais surestime la force de ses mains et sous joue préflop (une paire d’as notamment, bien mal lui en à prix). Nico, habitué d’Everest poker, joue très bien. Scott et James ont plus le profil de débutant. Ils n’ont pas peur mais on tendance à caller à tout va, à surestimer leurs mains et à tenter des bluffs maladroits. Je décide donc de jouer serré et de ne pas bluffer les deux Anglais. Je survis tandis que Christian puis Nico sont éliminés pas ces diables d’anglais. Le niveau de blind commence à être élevé pour moi, mais je réussis quelque bon coup contre Scott, me contentant de suivre avec un jeu moyen et le battant à l’abattage. Finalement James sort Scott.

Pour la finale, j’ai 1000 jetons environ et James 4000. Les blinds sont 50-100. Comme le vainqueur empoche 25$ et le second rien je prends les choses très au sérieux. Je décide de coucher toutes mes mains en attendant une occasion de doubler mon tapis. Je résiste ainsi pendant une demi-heure. Mon tapis oscille entre 1200 et 600. Je suis finalement payé lorsque je fais all-in avec une paire de dix et je reviens ainsi quasiment à hauteur de James. Les autres s’impatiente et je propose que l’on en reste là et que l’on partage la cagnotte. Proposition acceptée, je gagne donc 12,5 $.

2) Cash game

Le tournoi ayant duré 2h, on décide de se lancer dans un cash game. Chaque joueur paye 5$ et reçoit 1000 jetons. Les blinds sont de 2,5c/5c et n’augmenteront pas. Après une heure de jeu, possibilité de quitter la table. Le montant en jetons est alors reconverti en dollars. Possibilité de re-buy (rachat de jetons) pour 5$ à chaque fois.

Un peu de stratégie.

Les blinds n’augmentant pas, les parties de cash game permettent de jouer à son rythme et d’établir une stratégie au long teme. La patience et la sélectivité des mains est encore plus importante qu’en tournoi. Ici, pas besoin de voler les blinds. Il faut calculer les côtes financières associées au pot pour améliorer la rentabilité des coups au long terme.

Je me suis très bien sorti de l’exercice, avec notamment un superbe coup que je vous raconte ici.

Au bouton, je reçois A/K de cœur. Je ne relance pas pour deux raisons :
1) Cette main n’est pas une main faite (contrairement à une paire) main une main à tirage qui nécessite de trouver un flop.
2) Tous les joueurs sont entrés dans le coup, et au moins deux d’entre eux (les anglais) suivront à coup sur.

La petite blinde complète et la grosse blinde relance de manière importante (disons 3 BB soit 30c). Scott call et James se couche. À ce niveau-là je pourrais relancer Nico, mais je préfère caller et voir le flop. Christian se couche. Le flop vient : J 10 7, tous de cœur. J’ai flopé la couleur max ! Nico, qui décidément semble avoir une bonne main, effectue un continuation bet d’environ 70% du pot ; Scott se couche et je décide de me contenter de suivre, afin d’optimiser mes gains. Un as tombe à la river. Je vois Nico sur une paire d’As .
Effectivement, il parie de nouveau un montant important (2$). Je le relance à tapis, comme si je voulais arracher le coup. Mon tapis fait 6$. Il hésite, ne pouvant croire à la couleur. Après 5 interminables minutes, il paye mon tapis et me montre deux As (il avait environ 10$). Je double donc, pour me retrouver avec environ 18$ devant moi.

Après ce coup je remporte plusieurs pots de 1$ et réussit un nouveau joli coup en payant le tapis de Scott (4$) alors que je n’ai que la paire max. Good call puisqu’il était en bluff . Je monte jusqu'à 28$. Les autres ont effectué plusieurs rebuys. Finalement, après deux coup malheureux (battu par un brelan de 2 alors que j’ai deux paires notamment) je redescends à 18$. La partie s’achève ici.

Bénéfice net de la soirée : 20,5 $. Comme il n’y avait plus de bus, je rentre avec Scott en limousine (comprenez taxi). Les poches pleines de dollars, la classe...

4 août 2007

Sydney Aquarium

Puisqu’il fait nuit noire à 18 heures, pourquoi ne pas terminer la journée au Sydney Aquarium. Situé à Darling Harbourg, cet aquarium permet de s’en mettre plein la vue pour moins de 15 euros.
De nombreuses espèces caractéristiques de l’Australie sont présentées. Beaucoup de poissons (de toutes les couleurs) bien sur. Mais également quelques crocodiles, des lions de mers, des ornithorynques (excellent !) et une superbe reconstitution d’un récif de la barrière de corail permettant d’observer des poissons au couleurs chatoyantes jouer à cache cache dans de superbe anémones. Le clou du spectacle étant, bien entendu, le bassin à requins. On le traverse dans des tubes en verre, ce qui permet de voir de très près les différents spécimens de requin, de tortues et de raies. Une petite vidéo vaut mieux qu’un long discours...

3 août 2007

Opera House and Royal Botanical Gardens

Samedi, nous avons marché jusqu’au Botanic Gardens, magnifique parc qui borde les rivages de Sydney sur 68 ha.










Lorsqu’on s’enfonce dans ces jardins luxuriants, on quitte peu à peu la fureur du centre ville pour retrouver un peux de paix. La pointe nord du parc offre une vue magnifique sur le litoral, Harbourg Bridge et l’Opera House.































Opera House que nous avons vu de plus près le lendemain, au retour de Manly. Sa toiture aux formes rappelant les voiles de navires (ou des coquillages - au choix) n’abrite pas uniquement une salle d’opéra, mais également des allés de cinéma, d’exposition, de concert et même un restaurant.









L’esplanade offre un superbe point de vue et l’on peut s’installer en contrebas en terrasse de plusieurs cafés, à quelques centimètres de l’océan. Tout comme lors de ma visite de Manly et du Botanic Garden, la bordure de l’opéra me laisse l’impression d’un endroit où je pourrais rester des heures, à siroter une bonne bière, avec un bouquin ou tout simplement sans rien d’autre que le sentiment de tranquillité que m’inspirent ses lieux.

2 août 2007

Manly Beach

Ce weekend j’ai eu le plaisir d’accueillir Lucille (pour ceux qui ne la connaissent pas, c’est une amie qui est en cours avec moi à Toulouse) chez moi.
Nous avons donc pas mal explorer Sydney ensemble. Commençons par Mainly Beach donc, puisque c’est le titre de ce post.

Mainly est un suburbs et plus exactement un isthme qui doit son nom au capitaine Philip, qui, paraît-il, fut frappé par la virilité des aborigènes qui y vivaient. Situé au Nord de Sydney, à 10 km du centre ville c’est un lieu de détente très prisée.











En plus de sa plage principale (Mainly Beach, vous l’aurez compris), berceau du surf Australien, Mainly présente de nombreuses autres plages plus ou moins grandes. Une marche permet de faire le tour de la côte (cf photo suivante) et le centre recèle de nombreux cafés et fast-foods.

Pour se rendre sur ces plages de sable fin, la solution la plus rapide est d’emprunter un Ferry. Ce qui permet de s’offrir pour un prix modique une superbe traversé de 30 minutes.



Une fois à Mainly, on oublie vite les soucis liés au quotidien et à la ville. Il règne en ce lieu un incontestable parfum de vacances, même en plein hiver.
Je me suis offert mon premier Burger King (Hungry Jack en Australie, pour des raison de copyright il me semble ), principal concurrent de MacDo. 4,8 euros pour ce délicieux menu à savourer sur la plage !